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Vous me connaissez déjà....... je suis Gergi Liebl....... je porte le nom de mon arrière-grand-père allemand...... et je
suis né en Allemagne..... pourtant je suis menacé d´expulsion......
J´ étais gravement malade, après ma naissance en décembre 1999 à Pirmasens. Mes parents m´ont fait une demande de visa de séjour le
11.02.2000 auprès du service des étrangers de la ville de Pirmasens. Le 21.03.2000, dossier-Nr. : III/33Bp rejetait Mr. Rudolf Böhmer du service des étrangers ma demande de visa de séjour et
il demandait à mes parents de retirer cette demande. Mon premier avocat Mr. Robert Münch avait adressé une lettre d´opposition le 03.04.2000 contre la décision du 21.03.2000 du service des étrangers et il avait
aussi fait en même temps appel devant le tribunal administratif de la ville de Neustadt. Mon pédiatre m´a délivré une attestation médicale le 13.04.2000 et l´hôpital, où je suis né, m´a aussi établi un
rapport du diagnostic le 14.02.2000 en précisant les importantes thérapies à faire. Tous ces deux documents médicaux confirmaient la gravité de ma maladie et m´exigeaient des soins intensifs à suivre. Mon second
avocat, Mr Dr. Konstantin Thun avait motivé mon appel le 14.04.2000 avec ces importants documents médicaux auprès du tribunal administratif de Neustadt, en précisant que mon expulsion serait un grave danger pour
ma santé. Mme le juge Dr. Cambeis-Glenz, présidente du tribunal administratif de Neustadt a rendu sa décision le 19.04.2000,dossier-Nr. : 5 L 829/00.NW en accordant ma demande de visa de séjour. Après cette
décision rendue, le service des étrangers de Pirmasens m´a jamais délivré ce fameux visa de séjour. Par contre, messieurs Klaus Anstätt und Rudolf Böhmer du service des étrangers de Pirmasens ont adressé les lettres
du 24.05.2000 et du 14.06.2000,dossier-Nr. : III/33-Bp à l´ambassade de la république fédérale d´Allemagne à Lomé/Togo, en demandant une prise de position auprès des médecins résidants sur le territoire
togolais, qui devraient me soigner dès que je serais expulsé. Selon les lettres du 30.05.2000 et du 19.06.2000,dossier-Nr. : Gz :RK 516.80/3Liebl de messieurs Papenfuß et Raimann de l´ambassade de la
république fédérale d´Allemagne à Lomé déclaraient que, d´après leur information, je pourrais suivre les traitements médicaux chez le docteur Jean-Piere Dovi Akué à la polyclinique internationale St. Joseph à
Lomé ; et qu´il y a aussi des pédiatres expérimentés à l´hôpital de Bè à Lomé et que cet hôpital est moins cher que la clinique privée de St. Joseph. Ils confirmaient aussi que seulement 5% de la population
togolaise qui ont l´assurance de maladie et que chaque consultation chez un médecin doit être immédiatement payé. Alors le service de santé de Pirmasens m´a adressé une lettre le 10.08.2000 pour une consultation
médicale, si je pourrai être en mesure de voyager, parce que ceci a été exigé par le service des étrangers de Pirmasens. Le service de santé confirmait dans sa lettre du 18.08.2000,dossier-Nr. : 204-03N au
service des étrangers de Pirmasens que je pourrai voyager, après m´avoir consulté le 16.08.2000, alors que mon pédiatre était toujours contre un tel voyage selon la gravité de ma maladie. Mr Stephan du comité
juridique de la mairie de Pirmasens avait adressé une lettre le 20.10.2000 au tribunal administratif de Neustadt en demandant l´annulation du jugement rendu le 19.04.2000,dossier-Nr. : 5 L 829/00.NW et que je sois
immédiatement expulsé. De là, mes parents ont téléphoné et adressé directement une lettre au docteur Jean-Pierre Dovi Akué de la clinique internationale St. Joseph à Lomé, concernant les rapports établis par
l´ambassade de la république fédérale d´Allemagne à Lomé. Dr. Jean-Pierre Dovi Akué confirmait à mes parents qu´il n´était au courant de rien et il comprenait pas du tout pourquoi je viendrai suivre les
traitements médicaux à Lomé, alors que mon pédiatre était opposé à un tel voyage et que les médecins résidants à Lomé font toujours appel aux médecins européens de venir les aider ou ils recommandent leurs patients
d´aller suivre les traitements en Europe dans des cas très délicats. Mon avocat a adressé une lettre d´opposition le 30.11.2000 auprès du tribunal administratif de Neustadt ,contre demande du 20.10.2000 du comité
juridique de la mairie de Pirmasens. Mme Le juge Idelberger du tribunal administratif de Neustadt rendait une autre décision le
06.12.2000,dossier-Nr. : 5 L 2578/00.NW en annulant la première décision de ce même tribunal rendu le 19.04.2000 et exigeait immédiatement mon expulsion. Mon avocat avait aussi fait le recours auprès du tribunal
supérieur administratif de Coblence, contre cette décision rendue par le tribunal administratif de Neustadt. Le tribunal administratif supérieur de Coblence rendait sa décision le 25.01.2000,dossier-Nr. : 1 B
10003/01.OVG en rejetant toujours l´admission de ma demande de révision introduite par mon avocat. Le maire de la ville de Pirmasens,
Mr. Matheis avait aussi adressé une lettre le 18.01.2000,dossier-Nr. :II/30 Bo/ka au tribunal administratif supérieur de Coblence en demandant fermement pour que mon recours auprès de ce même tribunal, concernant
mon expulsion de même que ma demande de visa de séjour, soit rejeté et que les frais de cette procédure me soient adressés. L´on a l´intention de m´expulser sans parents au Togo, contre toutes les recommandations
médicales et l´on serait prêt de s´accommoder de ma mort. Je ne savais pas que ces gens me haïssent jusqu´à ce point, car
celui qui n´aime pas les enfants perd sa foi, parce que lui-même fût enfant. Ce drame terrible m´a trop marqué, selon mon âge, et je le porterai dans
mon cœur durant toute ma vie. Gergi Liebl |